Bestiaire 4

Déclaration à L.

L’épi à notes s’égrène après avoir cassé la graine et briser la glace de l’igloo. Si tu lis mes mots-mâles, tu les y glousses dans un te tes secrets défaits ou,  antres ouvertes. Le pis à lait ne sera pas notre pis-aller mais une certitude sertie par ta confiante féminité infinie mais non finie, apeurée par le fil de la farce que tu dois dé-s-être pour te rencontrer. Chaque jour, a deux doigts de  la semaine pour une rare qui vaut de l’or, qui fait de ses phrases, des turqueries sans patrie.

La dé-marche Turque de Mozart se joue en notes où, l’élégance est plus moyenâgeuse à quatre mains avec  lesquelles, les maudites notes se chantent cris après cris de la sainte Vierge devenue vivante de son entièreté et, qui crissait sans plaidoirie blanche…  « Jésus que ma noix de beurre ! »

Pour deux, je ne veux pas d’égrégore ni de prénommé Grégor, cette espèce de mac qui t’a imposé un mic-mac sans pour autant honorer ta mosquée féline ; mais, seulement le grès de tes seins d’ivoire, c’est l’autour d’ivoire ou mieux, d’y voir la tentation féerique comme seul sein Grall de ton cor à corps qui râle et crie des cris crus, montrant tes crocs dans la forêt où seuls, les fourrés sont francs du collier de perles de ta soie sauvage si raréfiées qu’elles méritent de se déjeter à l’eau rare, défiées.

Soie, donc sauvage comme l’eau de tes dunes offertes où peut l’épi féconder avec ou sang épines. Sois sûre sans censure que je trouverai(s) la bonne note ! Le lé de la couche est pour la laie d’Epicure qui te propose une pièce en quelques actes mais avec d’infinis tableaux à jamais indéfinissables… L’époux de la laie est le sang guidé par son allée…

La ballade, ode périmée dans l’amertume de tes montagnes bleues permettent d’ouvrir le bal dans ton corps de château-femme sous différents angles nantis de doigts à ongles à la limite de ton citron-lime vert comme un chant d’église païen. La chatte à l’eau ainsi ne se fane pas et le nain baladeur pas si petit roule sur ses deux boules comme des échasses pour t’atteindre, te teindre et t’éteindre.  Ainsi, mieux rallumer le feu de forêt où le feu follet dont le ver luisant teinte ta nuit marine jusqu’à ce que le coquillage tinte au diapason de la grande Joute Marine de l’impact originel. « Chat(te) échaudé(e) craint l’offrande », mais l’eau originée de Laura se révèle dans un révélateur, où ya pas photo. Seulement, où le fat se prend pour un poteau froid.

Ravalateur de face Sade où se révèle l’actrice trismégiste comme Les Fleurs du Mal de Baudelaire. Sens-tu la peau de l’air sur la tienne comme ton souffle siffle si sûr dans la salle des jeux gothiques lorsque les jouteurs sont nus, car délarmés ?

Mais, c’est plutôt bien une image d’Epinal sur laquelle un gant de velours sied comme un appel du pied qui fait honte à n’importe quel téléphone sans fil. Si ton aura est cossue et tant cousue de fil blanc ton « L » de laura aura seule le « P » pirouette de l’alouette qui possède ton chant libre.

Ne me suis pas, laisse-toi guider comme le sage fait visiter l’archéo-forêt ancestrale comme tu es australe dans l’abord nébuleux puisque tes ailes sont cachées par le périmé. Le périmètre carré est sans ondes de choc ! Epouse donc le rond de ton âme-fille. File un bon coton-cocon-cossu pour te vêtir sans rester dans la file. A la queue leu leu vient du mot  «  loup » dans la sémantique. S’ils s’aiment en tic, ils auront toujours des Tuc pour la soif, du tact l’un pour l’autre, ils n’auront pas de toc et nul besoin de Tec pour se déplacer car ils se marcheront dans le cœur de l’un de l’autre en perdant seule la tête sans pour autant y perdre leur chemin individu-elle. Chaque « Je » peut être  le « Tu » sans pour autant être indivis sans pour autant perpétrer le tue. Un abstiens ne vaut pas tue Laura ! Elle peut voler mieux si elle déplie ses ailes masquées par sa soif non ravivée…

Si tu vacilles ces jours derniers, cueille-en les deniers du Théâtre de la Monnaie et ne vacilles pas la branche sur laquelle je t’ai assise. Deux suffisent pour y faire une déclaration d’humour sans pour cela se perdre dans un rets comme un poisson sans sol,  comme un poison seule. C’est le sel de la mer qui est important surtout quand les grands goélands épient la terre des Hommes qui ne se pensent, ne se penchent ne s’épanchent pas assez en sac à cascades de saccades. Je sais, la vie est un sac à dés ! Mais pose donc ton sac à dos pour y délier la dyade intime de la clé latine : le déclic tord le risque…

Les miettes sont des pierres azur pour dé-trouver ton chemin dans lequel tu ne traverses pas comme La Muette de Portici, le pêcheur napolitain préfère la pécheresse à la pêcheuse de sole si seule en ce sourd sursis si sûr et trop incertain de ton miroir sans tain où seul mon roide préfère l’odeur du teint de ton thym de ta garrigue sauf l’âge. L’effet fée sur l’ours, puisque tu as joué en voulant le -jouer, à postérieur-rit. Toutefois ton miroir en face de moi ne peut rester de glace à deux boules. Cornet ou galette, vas-tu savoir où t’asseoir ?  Nul besoin d’un triptyque mais bien d’un diptyque.  Je te crie dans un appeau sans vendre ta peau à n’importe quel ours fané de province  car le tutu-danseur est fait. Il  te ressemble et est revenu à « L ». « A » de l’arbre. « U » de nue. “R” de rat mais mieux de rage de vivre à ravir l’espace-instant. « A » comme la voyelle secrète qui sécrète un mot magique trop souvent permis, gale de l’épi-dermique où certains veaux jouent aux dés sur ton dos comme déjà cité dans un précédent bestiaire très intérieur irisé.

Mais penses-tu que Le Tsar Sultan t’attend ? La Star que j’assume être te sus-tendre. Le filet démaillé par le bâton du pèlerin qui permet te trouver ta route plissée quelque soit la saison ou les salaisons du jour te tente l’heure qui sera à la bon heur pour un bonheur heureux où la pluie des secondes ne règnent pas en minutes sans mini-lutte  pour un oral repas où chaque fourchette peut nourrir la bouche de l’autre si la table éloigne trop les coudées franches de chacun. Il suffit de consulter sa carte intérieure. Pas besoin de GPS si la topographie personnelle est interne à chacun de Nous Deux, magagazine du courrier obsolète du cœur. L’idée c’est plutôt les gourés du chœur ! Et,  il n’est pas tard-là pour une chemin semé de montagnes, à l’aube de réparation des cors d’échasses. La chasse à cour est ouverte ! Ta bogue ne peut ainsi reste bègue mais bien bénie pour un jour sans bornes… Vois-y bien clair, Laura sans t’éborgner sans Baume du Tigre légèrement mentholé. Ou bien, d’amante olé !

Si tu es ma Muse pour la musique de mes sons sensibles, semblent-ils salaces, tu ne t’en lasses pour t’enlacer seule sur la scène de la citrouille : le carrosse en cendres de Cendrillon t’as lassée là, lasse puisque tu n’étais pas dans le lot. Si trouille il y a, épouse donc le sucre de mes mots que butinerait l’abeille-femelle pour une simple mise à mâle, en simplement définissant la liberté de l’ARC en miel.

Je ne peux donc m’échapper de ta si sûre silice, comme le gage du suc de ton sol éventé épousant le camaïeu du mica. Eventrer le temps serait trépasser le repas des gueux alors qu’il faut juste repasser par la case départ : c’est le starting-block qui permet d’échapper à la course et non le contraire !

Seule la marche engagée permet de croiser les pieds, aux tours des chevilles de l’autre pour y voir plus clair… C’est construire un meuble autour de tes sables mouvements.
Tenons et mortaises.

Tu peux en parler sur mon divan : cessants ennuis !

 

Pas de Risque à Javel (Patrick Fraselle)