Bestiaire 3

Laura a réussi l'écrit quelquefois empêtrée dans un psittacisme dont le plumage n'a d'égal que le ramage : c'est le rat, mage enturbannée magicienne de la Terre de Sienne Brûlée.  Rivée sans y arriver à son aura céleste riveté au sel de lit, de lire ce zoo-là en vingt-quatre veaux qui allument sa crèche dont la paille est une calèche pour le plaidésir en se découvrant et se découverturant. Ses membranes de ses soifs personnelles troquées du délires de ses mots-plumes qui se voudraient plus légers pour autant dès lors à, boire-lécher sa chaussure de vair dont la fourrure permet de prendre son pied délicieux dans ma langue : cerner divers vifs et vivifiants coups de langule plus loin de languline autour de chaque orteil tout et tendre plus proche du ventre. A linea verde, son ventre humide de mousse comme un repaire à régner telle « La Mouche du Coche ». C’est là que la fontaine a permis de décocher la flèche de Cochise, l’indien tendu comme arc à flammèches. C’est un reincendie.

Avaler un vit verre, un ver, un vers ou un vert en verve vertueuse vivifiante comme une verveine veinée non vénale vissée à son axe sans vices avec seules les vicissitudes de son vivier tel un Fantin-Latour peintre des roses, des Rosa arrosées de la bouche aux lèvres. Ainsi, peut l’arroser l’aurore de Laura  comme une mise à la campagne sans y glou (de re-boire sans dé-boire) ou ailleurs visiter la tour d'Yvoir près La Meuse et Le Bocq sertie entre deux lieux calmes sans danger(s) imminent(s). Fondera-t-elle sa pertinence pour laper la paire au lieu de se faire grâce sans la forêt de Logne où elle ne joue pas au, à,  avec le Loup dans le château-fort en choisissant de rester près du maire de sa ville. S’y perd-elle ? C’est le « Sans Famille » d’ Hector Malot ou le sang de ma fille de l’Hannibal Lecte(u)r qui fuit dans sa garenne telle la fourmi dans la ruche juste pour y dérober le miel sans y travailler. Ho ! Vous me faites grâce d’y aller à Logne, cher Saigneur ?

Entre deux séances de cinéma elle pourra croquer un esquimau sans devoir troquer pour autant son temps pour s’offrir un igloo perdue sur une banquise sans coq. Ou préfère-t-elle un Magnum, ce choco sans but dont les rares cow-boys s’étirent sans dégainer vraiment… L’important c’est qu’elle ait l’aise. La mâle aise. Dinde, grue ou perruche, le meilleur morceau du poulet dans ce cas de la poulette, c’est le sot-l’y-laisse. Combien de gus pour le déguster ?

Qui, mot-tiroir rare, auprès de  ses lèvres scellées dont le sang-feu fait fondre la glace entre deux nimbés du cœur. En prononçant le « Tu » à l’autre, pour le féconder en taisant le « Je ». L’eau lustrale rare rassasie mieux ainsi le jeu du mictionnaire. Si elle sèche ses mots elle n’étanche plus la vie dont l’inondation ne place pas la tanche au menu. L’humidité doit se répandre en vase clos. Après le poisson, elle l’aura, l’occasion de reprendre du dessert si elle affûte et réfute son désert de banquise sans temps…

L'eau lustrale de Laura se masque quand "l'ho!" râle n'est pas encore passé dans un futur antérieur ou dans un passé -composé mais sûrement pas dans un plus-que-parfait ! Cherche-t-elle l'impératif ? Mieux serait le participe présent ! Perd-elle de vue que le subjonctif est subjectif sans pour autant prendre par les cheveux la langue de bois qu’elle fait sienne sans s’octroyer la terre de l’homme pour qui les sourcils sont les sus-cils de la fuite latérale mais d’un seul côté seulement. L’autre s’ouvrant au vide comme un nid sans taupe. C’est le manque de nidité qui fausse le stop des mots roides comme « mouroir » car une chienne vaut mieux que deux tu l’auras, à bon chat bon Laura, rien ne sert de courir il faut partir à ses tempes. Patrick qui roule de ses mets canines amasse sa mousse planquée dans son aurore beau Loréal quand ses cheveux son offert comme une offrande de caresse sans affres si affriolants. Fer à icelle comme le sabot a perdu son unique cheval car elle n’avait pas de trique sur ce qu’elle dit.

Leur Raki Turc est moins ouvert le maire cru dit il s'agira alors de ne pas manger cuit ni comme un oiseau mais est Patricable tous les autres jours de la semelle car ce n'est pas loin d'y aller en marchant la pensée possible dans sa tête qui s’appartient comme le clown appartient à sa roulotte et non à ce cirque-là qui lasse sans délasser les lacets de ses dessous qu’elle cache par-dessus.

Attend son à corps avec de commander le menu et par éthique marine il n'y a pas que de la sole avec nageoires intimes... La raie est au menu, la carpe est deve-nue muette, la truite s’anguille, le thon n’est pas de mise car c’est mieux le filet de perche pour tenter un lit d’algues : en attendant le bar est ouvert farci de légumineuses pour une mine heureuse. Le mineur de fond n’ira pas toujours au charbon car son chauffage centré se sentira comme une côte à l’os aux alentours de son squelette rendu muet. Comme rentrée, les fruits de mère sont de mise franchisés nature. Avant il faudra s’échanger la main de l’autre pour voyager sans carte géographique avant de se souffler dans les yeux.

Pas de Kriek Fard à Elle